A la bonne crèche !!
Il y en a qui manquent pas de culot. Comme la Marie que je ne vois depuis un bail
Et qui se manifeste avec un petit texto : Radine-toi fissa à mon bercail !
J’ai une nouvelle qui va te plaire ! Je viens d’avoir un petit mouflet
C’est le portrait craché du père ! À le voir, on dirait son reflet !
Quand on la prend par les sentiments, la Lola, elle ne réfléchit pas
Elle enfile deux, trois vêtements, et la voilà partie pour la casbah.
Avec la crise, sans boulot, le couple loge sous les toits, chez les vieux
En attendant que la situation s’améliore pour trouver mieux
J’arrive au squat où pleins d’amis et connaissances sont déjà arrivés
Avec twitter, en un clin d’œil, le tour est fait et le monde est invité.
Joseph se trémousse comme un coq parmi les poules et leurs poussins
Les mages, les dealers de l’endroit, ont rameuté tous leurs cousins
Ils sont les rois du coin pour la vente de poudre, des pierres et de l’alcool
Pour réussir ils ont dû faire profil bas, jouer des poings et de la Laguiole
Les bergers ramènent leurs moutons, c’est moins cher que se faire une toile
Pas de meufs dans le turbin, on dit que cela pourrait salir leur étoile
Je joue des coudes dans le sérail me moquant des insultes et reproches
J’arrive au berceau. Il est beau le divin enfant avec ses parents tout proche
Couvé comme un trésor par une grosse vache qui rumine et un vieil âne bâté
Marie me présente belle-mère et compagnon. Ils sont vraiment pas gâtés
On met de la zigue et nous voilà tous entraînés
À danser la gigue dans l’appart et les escaliers
Une teuf pareille, on va encore en causer dans mille ans
Surtout quand on sait que le Joseph n’a pas un sou vaillant
Mais vous direz ce que vous voulez, il y a un truc que je trouve con
Pour deux juifs, c’est bizarre de nommer le fils comme un saucisson !
La vilaine LILASYS
Il y en a qui manquent pas de culot. Comme la Marie que je ne vois depuis un bail
Et qui se manifeste avec un petit texto : Radine-toi fissa à mon bercail !
J’ai une nouvelle qui va te plaire ! Je viens d’avoir un petit mouflet
C’est le portrait craché du père ! À le voir, on dirait son reflet !
Quand on la prend par les sentiments, la Lola, elle ne réfléchit pas
Elle enfile deux, trois vêtements, et la voilà partie pour la casbah.
Avec la crise, sans boulot, le couple loge sous les toits, chez les vieux
En attendant que la situation s’améliore pour trouver mieux
J’arrive au squat où pleins d’amis et connaissances sont déjà arrivés
Avec twitter, en un clin d’œil, le tour est fait et le monde est invité.
Joseph se trémousse comme un coq parmi les poules et leurs poussins
Les mages, les dealers de l’endroit, ont rameuté tous leurs cousins
Ils sont les rois du coin pour la vente de poudre, des pierres et de l’alcool
Pour réussir ils ont dû faire profil bas, jouer des poings et de la Laguiole
Les bergers ramènent leurs moutons, c’est moins cher que se faire une toile
Pas de meufs dans le turbin, on dit que cela pourrait salir leur étoile
Je joue des coudes dans le sérail me moquant des insultes et reproches
J’arrive au berceau. Il est beau le divin enfant avec ses parents tout proche
Couvé comme un trésor par une grosse vache qui rumine et un vieil âne bâté
Marie me présente belle-mère et compagnon. Ils sont vraiment pas gâtés
On met de la zigue et nous voilà tous entraînés
À danser la gigue dans l’appart et les escaliers
Une teuf pareille, on va encore en causer dans mille ans
Surtout quand on sait que le Joseph n’a pas un sou vaillant
Mais vous direz ce que vous voulez, il y a un truc que je trouve con
Pour deux juifs, c’est bizarre de nommer le fils comme un saucisson !
La vilaine LILASYS