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Ni grand ni petit

Eléâzar

Maître Poète
#1
Amis, n’enfante la vie ni grand ni petit
Et le sol perçoit le son proche du fa dièse ;
Tous les pieds touchent terre en se sentant à l’aise
Et le moustique au ventre a un bel appétit.

Tous les béats ravis ont commencé mini
Puis se sont agrandis jusqu’au jour où s’affaisse
Le rachis même le yeti n’a pas fini
De sentir que ses os se tassent sur sa fesse.

Les minus venus grands redeviennent enfants
Mais quel que soit le temps touchent tous le sol ferme
Et la basse-cour dont les oies peuplent la ferme
Croit que les biches sont sans doute nées en faons.

Tous les « Géants » du monde ont été des bébés
Qui se sont empressés de téter les mamelles
Pour mépriser les « Nains » mais se sont recourbés
Jusqu’à s’allonger plus bas que sous leurs semelles.

Amis, n’enfante la vie qu’un être vivant
Marchant, rampant, volant sans souci de sa taille
Car pour tenir à soi il faut livrer bataille
Et le ver à soie en est l’exemple vivant.
 

Venezio

Maître Poète
#3
Merci, Maître Eléâzar

Oh oui! Déjà quatre centimètres de moins, que ma taille d'adulte
Peut-être il seront repris dans la boîte en sapin ;)
Mais en attendant, c'est bien de l'esprit que résulte
De voir l'extraordinaire des cartes que la vie nous a mis en main