"Peut fortement heurter la sensibilité de certaine personne"
Symphonie
Infernale
Eurythmie harmonieuse mélodie immuable
Figé l’instant immobile criard et éclatant
Euphorie de silence dans l'instance mémorable
En espérance d'un chuchotement désirant
De ces sons perceptibles ou règnent l’accord parfait
Troublante croupe qui se pose sur un corps de cristal
La belle rose topaze Fanée au Sol Do Si clair rubis estival
Mi en Facile désinvolture par l'apollon Dominiquais
Illuminât salle et convive charme opus dévorante
Sonate en chœur jouant en accord,
De l'attirante souplesse de leurs corps
À l'harmonie d'unissons en Ré
Majeur les La mineur Requiem
Paire duo verso de désir bohème
Ce mélangeant comme une
Si
Do-cile
et Fa-Si-La Sol Do
Fa-randolle
Sang
So-litude
Re-MisSion
Ma-ladive
De La
Ré-danption
En Re-unison
Ce matérialisant dans un moule de chair…
Si fébrilement vermillonne Do Si clair...
Flûte traversière coulant en lave d’émotion
Violoncelle Si Dominante Sol Do Mi Somation
sur ce pêcher originelle corps de femme
Do Mi néfastement au Sol et Réclame
sensualité en chœur
Le roi pique la dame au cœur
Archer dévorent chaque ligne de la belle
Ardemment le fou chevauche la reine rebelle
Floribonde sensuelle fleurissante en note de Sol
Le pipeau au plus clair de la lune pour boussole
Regardant chaque geste euphorie d’une symphonie
Infernale et bestiale offrande de chair cacophonie
Harmonie luisante d’une mélodie
Écœurante et divertissante parodie
transparaît jouant en accord
De la jouissive possession d'un corps
D’une contrebasse échos de résonance
En hautbois il la tambourine avec persistance
de rythmes troublants caressant d’un doigt corps de bois
Ardents ou la belle est livrée au sacrifice de la bête d’effroi
Ou saxo affolant nos sens en cadence
De démentielle pulsion en insistance
Sans dissonance
Dans l'assistance
Violon arpentent la belle de ses lignes
Violoncelle Si en duo ou trio mixtilignes
Dansant sur elle les notes glissant
En chœurs et son cœur agonisant
En coulé de perle emmêlé de miel
La symphonie cruelle cérémonielle
Libertine la jouvencelle
L'ange déploie ses ailes
Conjointement se mêle le piano à queue frappant
doucement la peau nacrée de la jouvencelle
Devient blafard et encore beaucoup plus érotisant
Métamorphosée de belle charnelle en bête cruelle
Symphonique nourriture de l’âme en osmose
Chef d’orchestre puissance donné en sa baguette
Acérées de fléaux il la fouette en sang à l’apothéose
Mémorial et sadique rituel au offrande de la bête
Longeant son corps gracile pleine de béatitude
S’abandonnant sans fausse note au labeur
Devenue ignorante de toute forme de peur
Aux pulsions morbides elle se donne en gratitude
De son corps en léthargie dénudé sous la cloche
De la dernière note
Où tous les participants ont perdus leurs valoches
Requiem sans fausse note
Ou corps abandonne enveloppe corporelle
Charnelle envie d’une symphonie
Infernale
Lyseria
Leo
III
Symphonie
Infernale
Eurythmie harmonieuse mélodie immuable
Figé l’instant immobile criard et éclatant
Euphorie de silence dans l'instance mémorable
En espérance d'un chuchotement désirant
De ces sons perceptibles ou règnent l’accord parfait
Troublante croupe qui se pose sur un corps de cristal
La belle rose topaze Fanée au Sol Do Si clair rubis estival
Mi en Facile désinvolture par l'apollon Dominiquais
Illuminât salle et convive charme opus dévorante
Sonate en chœur jouant en accord,
De l'attirante souplesse de leurs corps
À l'harmonie d'unissons en Ré
Majeur les La mineur Requiem
Paire duo verso de désir bohème
Ce mélangeant comme une
Si
Do-cile
et Fa-Si-La Sol Do
Fa-randolle
Sang
So-litude
Re-MisSion
Ma-ladive
De La
Ré-danption
En Re-unison
Ce matérialisant dans un moule de chair…
Si fébrilement vermillonne Do Si clair...
Flûte traversière coulant en lave d’émotion
Violoncelle Si Dominante Sol Do Mi Somation
sur ce pêcher originelle corps de femme
Do Mi néfastement au Sol et Réclame
sensualité en chœur
Le roi pique la dame au cœur
Archer dévorent chaque ligne de la belle
Ardemment le fou chevauche la reine rebelle
Floribonde sensuelle fleurissante en note de Sol
Le pipeau au plus clair de la lune pour boussole
Regardant chaque geste euphorie d’une symphonie
Infernale et bestiale offrande de chair cacophonie
Harmonie luisante d’une mélodie
Écœurante et divertissante parodie
transparaît jouant en accord
De la jouissive possession d'un corps
D’une contrebasse échos de résonance
En hautbois il la tambourine avec persistance
de rythmes troublants caressant d’un doigt corps de bois
Ardents ou la belle est livrée au sacrifice de la bête d’effroi
Ou saxo affolant nos sens en cadence
De démentielle pulsion en insistance
Sans dissonance
Dans l'assistance
Violon arpentent la belle de ses lignes
Violoncelle Si en duo ou trio mixtilignes
Dansant sur elle les notes glissant
En chœurs et son cœur agonisant
En coulé de perle emmêlé de miel
La symphonie cruelle cérémonielle
Libertine la jouvencelle
L'ange déploie ses ailes
Conjointement se mêle le piano à queue frappant
doucement la peau nacrée de la jouvencelle
Devient blafard et encore beaucoup plus érotisant
Métamorphosée de belle charnelle en bête cruelle
Symphonique nourriture de l’âme en osmose
Chef d’orchestre puissance donné en sa baguette
Acérées de fléaux il la fouette en sang à l’apothéose
Mémorial et sadique rituel au offrande de la bête
Longeant son corps gracile pleine de béatitude
S’abandonnant sans fausse note au labeur
Devenue ignorante de toute forme de peur
Aux pulsions morbides elle se donne en gratitude
De son corps en léthargie dénudé sous la cloche
De la dernière note
Où tous les participants ont perdus leurs valoches
Requiem sans fausse note
Ou corps abandonne enveloppe corporelle
Charnelle envie d’une symphonie
Infernale
Lyseria
Leo
III
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